Le désespoir est un plat qui, invariablement, revient sur notre table.
Lorsque la réalité se dresse contre nous, la force du mal d'hier atténue celle du mal d'aujourd'hui.
La solitude. Elle peut porter très haut, pourtant ce sera toujours un châtiment.
Ceux qui souffrent et qui perdent sont toujours un objet de mépris.
Nos goûts culinaires sont, de tous nos penchants, les plus traditionnels, les moins sujets à des changements.