Citations de Alice Parizeau (courtes)
Chaque épreuve est une bénédiction, puisqu'elle purifie et délivre des péchés.
La vraie amitié n'a pas besoin de mots pour venir en aide à l'autre.
Nous avons besoin les uns des autres. L'être humain n'est pas fait pour s'isoler, mais pour partager.
Fuir n'est pas une solution. Il faut savoir s'imposer.
L'école : une serre où l'on apprend aussi la cruauté et la bêtise des autres.
Le travail, c'est la plus grande bénédiction que Dieu a donné à l'homme.
La religion, ce luxe des pauvres...
Ce qui est le plus important dans la vie, c'est de donner à quelqu'un un peu de bonheur.
Il n'y a pas pire malade qu'un médecin !
La plus grande richesse naturelle d'une collectivité, ce sont ses enfants.
Beaucoup de gens ont du talent, mais seul le travail permet de faire carrière.
L'art de réussir consiste à savoir faire travailler les autres.
La langue commune forme des liens plus forts que les liens du sang.
Il faut critiquer, il faut constamment tout remettre en cause. Cela permet de rester jeune et de progresser.
Il n'est pas vrai qu'il faut souffrir pour créer. Il suffit de savoir comprendre.
La propagande est autochtone, la vérité vient d'ailleurs.
Rien ne reflète mieux l'âme des gens que le cadre dans lequel ils vivent.
Il faut apprendre à oublier. Sans ça, l'existence devient impossible.
La terre c'est comme l'amour, elle exige une relation humaine, d'individu à individu.
Dans la vie la vraie chance consiste à naître fils unique d'une famille riche.
Édifier un amour sur le mensonge; c'est impossible !
Les premiers de classe qui se prennent au sérieux sont des cancres qui s'ignorent.
La vie est un don gratuit dont il n'est pas indispensable de rendre compte avant l'échéance.
Le meilleur moyen d'éviter la propagande, les mensonges, les faussetés, c'est de cesser de lire.
On fait des révolutions quand le peuple n'a rien à perdre et tout à gagner.
Le bonheur et la chance vont de pair.
Trop espérer, c'est se préparer des déceptions.
Les mots sont aussi nécessaires aux gens que le pain.
Dans les situations extrêmes l'échelles des valeurs change. Seul l'argent garde son pouvoir intact.
La fierté condition sine qua none de survie d'une collectivité.
Les gens de la terre : ils comprennent avec leur coeur et ils ont confiance en la nature humaine
L'ironie une sorte de bouclier protecteur contre le ridicule.
Vous êtes jolie femme et n'oubliez pas que, pour le rester, il faut apprendre à le savoir.
C'est trop beau, le bonheur, pour que cela puisse se prolonger au-delà de quelques moments privilégiés.
Il n'y a que le sommeil qui permette d'échapper à l'incertitude et à l'angoisse.
On efface le passé pour mieux détruire l'avenir.
Je bouffe, je dors, je fais l'amour, et je recommence.
Quand on étudie l'histoire, on s'aperçoit que ce sont les individus qui font avancer les collectivités.
La mort, c'est une évasion définitive.
Les intellectuels sont des impuissants qui rêvent de confort en prétendant le contraire.
La vie ne vaut pas la peine d'être vécue ailleurs.
On n'aime qu'une fois dans la vie. Après... Après, on fait l'amour et c'est différent...
Ecrivain. Ce n'est pas un métier, mais une vocation, un don.
Penses-tu qu'on peut vivre sans croire ? - Oui. A condition de vivre pour quelqu'un.
Le bonheur c'est tellement plus léger à porter qu'une existence raisonnable et convenable.
La vieillesse n'est pas une question d'âge, mais bien plus une certaine façon de regarder les autres.
C'est le lot des intellectuels et des artistes d'être inquiets.
C'est idiot la peur et c'est difficile à surmonter !
Il y a des sentiments qu'on ne peut exprimer avec des mots.
Rien de plus agréable à rencontrer que plus faible que soi.