Citations de Christine Orban (courtes)
Commencer un roman, c'est prendre congé de la vie réelle.
Le premier ennemi à combattre est à l'intérieur de soi. Souvent, c'est le seul.
Je préfère être critiquée pour celle que je suis, qu'être aimée pour celle que je ne suis pas.
La question charnelle est une sorcellerie.
Entendre une phrase qui tombe juste, c'est voir son âme dans un miroir.
La vraie vie pour un romancier, c'est d'en fabriquer de fausses.
L'amour, projection d'illusions sur une personne inventée.
Le bonheur recèle toujours une part d'insouciance, le malheur de constance.
Les criminels savent pourquoi ils sont condamnés, pas les malades.
Le rêve est une vie à part entière.