Citations de Claude Frisoni (courtes)
Quand une jumelle est très jolie, sa soeur l'est aussi.
C'est leur ego qui empêche les hommes d'être égaux.
Les grands hommes sont soucieux d'éthique, les petits d'étiquette.
Bière qui mousse amasse la foule.
Accomplir une révolution, c'est faire un tour complet sur soi-même, autant dire revenir au point de départ.
Il faut sourire pour être belle.
A quoi bon essayer de tuer le temps ? Il finit toujours par se venger.
Même dans l'alphabet, aime a toujours été voisin de haine.
Heureux les chauves, qui sont les seuls à ne plus perdre leurs cheveux.
Mieux vaut avoir un compte en Suisse qu'un contentieux.
C'est leur pertinence qu'on reproche aux impertinents.
Ce qui est creux n'est pas forcément profond.
C'est le temps passé dans les salles d'attente qui fait des malades des patients.
Tous les hommes sont égaux, il faut quand même battre le frère quand il est faux.
Ne pas faire la guerre ne suffit pas ; encore faut-il foutre la paix !
Mieux vaut un temps d'été stable, plutôt qu'un temps détestable.
Plus le monde se mondialise, plus la terre se terrorise.
On oublie toujours que l'infini n'a pas non plus de commencement.
Avoir les moyens, c'est pouvoir se payer ce qu'on est incapable de s'offrir.
Dieu est un étrange berger, qui attend de ses agneaux qu'ils soient dévots.
Les hommes publics sont comme les filles publiques, incapables de prendre leur retraite à temps.
Il faut que la presse paraisse, surtout pas qu'elle paresse !
On plaint toujours les pauvres qui connaissent la faim. Et jamais les riches qui ont manqué le début !
Pour survivre, les sociétés ont plus besoin de futures mamans que d'experts.
Quand on dit que l'Univers est infini, il semble surtout inachevé.
Les hommes politiques feraient bien d'écouter nos voix, avant de les compter.