Citations de Hélène Ouvrard (courtes)
Quand l'amour se tait, l'amour est mort.
Le désir, le souvenir, l'espoir. Les trois temps d'un amour.
Il vaut mieux détruire soi-même ce qu'on aime que de laisser les autres le faire...
On croit parfois que la vie change les êtres. Non, elle ne fait que les révéler.
Synonyme de solitude, sinon de chasteté, le célibat n'a-t-il jamais satisfait personne...
Un amour est un voyage aux confins de soi-même.
L'amour est une lutte contre la partie de soi-même que l'on voit réfléchie dans l'autre.
L'amour et les affaires, c'est une drôle de paire. Ça va aussi bien ensemble que délicatesse et ambition.
L'être est un mystère que l'on ne finit pas de creuser.
Le temps est démesuré quand on est petit et qu'on attend.
Au fond, tout le mystère de la poésie est d'être attentif au monde.
Une grande douleur, un grand amour, s'effacent-ils vraiment ?
Trop de douceur écrite sur la figure. C'est le signe de ceux que l'on exploite.
Vivre c'est pécher. Et vous péchez par le seul fait d'exister...
Le gouffre le plus angoissant qui soit : l'amour...
L'amour passe et choisit ses élus...
Il n'y a pas de sots métiers. Mais que d'absurdes !
Quoique l'on dise, le passé ne lie pas.
L'absurdité est le véritable ordre des choses.
Qui n'a pas su préserver une certaine foi n'a pas non plus d'espoirs.
Le bonheur, cela ne s'installe pas dans la permanence, le malheur, oui.