Citations de Jean-Jules Richard (courtes)
Tous ceux qui essaient de faire du bien aux autres n'en font jamais assez. Les mauvaises langues les noircissent.
L'imagination, c'est l'art de faire des images au mérite.
Le dévouement d'un homme va souvent plus loin que lui.
Se laisser aller à l'imagination aide à perdre la notion du temps.
Comme c'est beau l'amour. Ça endure tout.
L'appât du gain n'a pas de limites.
L'amour de loin, c'est comme un compte en banque, on n'en jouit pas.
Un cheval dompté n'a pas la vie belle. Une femme non plus.
Quand on fait dans la fidélité, parfois on s'épuise.
Le zèle mène toujours un peu trop loin, mais parfois il est nécessaire.
La démolition c'est comme la morale, ça fout tout par terre.
Un homme au pouvoir n'a qu'un seul parti à prendre, le sien qui le maintiendra au pouvoir.
La religion n'est-elle pas avant tout un grand désir de retour dans les galaxies ?
On n'est pas responsable de ses pensées. On est coupable seulement de celles que l'on cultive.
Universités. C'est une industrie qui sert à alimenter le marché commun de la pensée de la nation.
L'art, c'est la divinisation même des belles choses, comme le péché. Aussi longtemps que le péché reste caché.
L'oisiveté est peut-être aussi la mère de la paresse.
Les femmes gouvernent le monde. Rien de nouveau même si de temps en temps on le fait savoir.
La chasteté a dans son jardin de grandes et de petites fleurs. Heureux qui les cueillent !
Essuyer une larme est chose facile, l'assécher l'est beaucoup moins.
Les tyrans souvent se désemparent devant leur victime.
C'est le capital qui, au fond, mène l'église.
Parfois les lèvres prostituent les paroles.
La pitié est une autre infirmité.
On ne peut bien vaincre que ce que l'on déteste.