Citations de Jean-Paul Pinsonneault (courtes)
L'orgueil est aussi une forme de la médiocrité.
Le plus difficile n'est pas d'avoir mal, mais de renoncer au bonheur.
On ne comprend la solitude que le jour où l'on est forcé d'y entrer.
Le temps guérit des souvenirs comme des illusions. C'est son métier.
On est toujours maladroit quand on a pitié des autres.
La pensée de la mort est une chose, mais son acceptation en est une autre, infiniment plus grave et déchirante.
Haïr quelqu'un c'est encore le porter en soi...
La mort s'apprend comme le reste, avec patience, avec peine. Il faut le vouloir.
Haïr ! Quel mot affreux ! Un de ces mots qui tuent en vous quelque chose...
La sainteté n'est pas de vaincre la souffrance, mais de l'accepter.
La mort n'est qu'un mot, une sorte de signe dont le sens nous échappe.
Espérer ne suffit plus à qui cesse d'aimer.
L'espérance n'est-elle pas une forme sublime de l'audace ?
On se défend mal que contre ce qu'on aime.
Un rêve n'est pas une raison de vivre.
Le temps ne tient presque jamais ses promesses.
Tous les ennuis se ressemblent.
La vie ne rend jamais ce qu'on lui a cédé.
Il faut aimer les êtres pour eux-mêmes, non pour leur souffrance.