Citations de Jiang Zilong (courtes)
L'âme du peuple ne doit pas être étouffée, elle a besoin de respirer, la littérature est son poumon.
La littérature est le chant du coeur du peuple et le peuple est l'âme de la littérature.
La rancune n'est que la preuve de la faiblesse.
L'oeuvre littéraire sert de miroir au public. L'auteur s'y reflète et le lecteur y trouve son image.
Lors d'une tempête, on peut trouver la tranquillité au coeur même du typhon.
Le malin est celui qui mate un misérable en épousant ses intérêts.
La pierre est l'amie du couteau, l'obstacle, celui de la volonté.
Un bon secrétaire doit être capable d'entendre sans écouter, de regarder sans voir.
Ce n'est pas en suivant les pas d'autrui qu'on arrive à tracer son chemin.
Quel que soit son orgueil, un homme le cache dans sa poche dès qu'il est amoureux.
Peut-on manger à temps quand les cuisiniers et les clients entrent tous à la même heure dans la cuisine ?
Est-ce que ceux qui ne savent pas dissimuler leur ruse peuvent encore passer pour rusés ?
Celui qui a du toupet se rassasie, celui qui est timide crève de faim.
Une oeuvre littéraire peut agir sur la réalité même qui lui a donné naissance.
Pour pouvoir se tenir droit et respirer librement, il faut lutter.
Lorsqu'un mur va s'écrouler, tout le monde le pousse.
Ceux qui arrivent juste à l'heure, sont des gens qui marchent à la sonnerie.
Les profanes voient les apparences, les connaisseurs voient les astuces.
Un habit bien fait embellit les gens comme la selle, le cheval.
Il est facile d'agir comme un héros, mais difficile de supporter les flatteurs.
De nos jours, le jeune dirige le vieux et le profane, le compétent.
L'argent ne peut pas être mieux placé que dans les mains des ouvriers.
Perdre vaut mieux que posséder.
Les masses sont les professeurs des cadres, les professeurs des directeurs.
Comment un individu peut-il se venger de l'opinion publique ?
Les directeurs dirigent l'usine mais les secrétaires dirigent les directeurs.
La langue révélatrice de la pensée, est la mère de tous les maux.
L'homme est à la fois le centre du mal et la source du bien.
Il convient de fermer les yeux lorsque ceux-ci révèlent les pensées.
Un bon cheval ne devient jamais une rosse.
Existe-t-il de véritables rusés dont on ne remarque pas les ruses ?