L'enfance véritable se définit justement par l'absence d'angoisse ou d'avenir.
Le monde est devenu invivable ; on n'a même plus le droit de ne pas être informé.
Ce n'est pas vivre que de s'agripper tout le temps à l'épanouissement des choses.
On ne surmonte jamais l'envie d'écrire.
La mémoire ne conserve que ce qui peut éventuellement être utile. On oublie le reste.