Citations de Lionel Jospin (courtes)

Il n'y a pas toujours un coupable derrière un malheur.
Trouver sa place dans la société, c'est d'abord avoir un emploi.
Il ne faut pas confondre instruction, culture générale et compétence professionnelle.
L'école est le berceau de la République.
La violence ne vient pas de l'Etat, elle vient de la société elle-même.
La cohabitation n'est pas un bon système dans la durée.
L'existence d'un leader se constate plus souvent qu'elle ne se proclame.
Il n'y a pas un outre-mer, mais des outre-mers.
On ne peut pas réformer l'Education Nationale sans les enseignants.
Quand vous savez que la révolution ne se fera pas, vous avez moins envie d'en parler.
Il ne faut pas tout attendre de l'Etat.
Un Président doit soutenir son Premier ministre.
Ce n'est pas par la loi qu'on va réguler l'économie.
La culture est l'âme de la démocratie.
Rien n'est plus étranger à la France que le discours xénophobe et raciste.
Rester ferme quant aux fins, savoir être souple quant aux moyens.
On ne peut nier que des comportements soient délinquants sous prétexte que leurs auteurs sont très jeunes.
Aucun d'entre nous n'est citoyen et seulement citoyen, du lever du soleil à la tombée de nuit !
Le tournevis n'est pas le seul outil de politique économique.
Il faut toujours dire ce qu'on veut faire, même si cela présente un risque.
Une Chambre comme le Sénat (...) est une anomalie parmi les démocraties.
Etre socialiste, c'est travailler à une société plus juste.
On n'a pas supprimé la dictature du prolétariat pour avoir celle de l'actionnariat.
On embaume les hommes, pas les régimes. On ne peut pas les conserver sous des mausolées.
Il faut séparer la logique des droits de l'homme de la logique économique.
La France est meilleure quand elle est unie.
L'essentiel n'est pas de "parler haut" mais de parler juste.
Avoir des convictions ne garantit pas contre l'erreur.
Les peuples peuvent aussi porter l'espérance.
Les remaniements, c'est comme les dévaluations, (...) cela s'annonce après.
La France est un pays riche avec trop de pauvres.
Les intuitions en politique sont autant de paris.
Le propre d'un réformateur, c'est qu'il réussit ses réformes.
La politique, même civilisée, est un univers rude.