Le malade ne guérit pas seulement de soins.
Quand il n'y a plus rien à dire, peut-être est-ce l'heure du sourire ?
Un malade est un coupable qui s'ignore.
Quand le ressort secret des volontés s'est détendu, il ne sert à rien de remonter les mécanismes.
C'est au-delà des mots que se font les vraies adhésions.