Il y a toujours une bonne part dans tout.
Quand j'étais petit, pour moi le rap c'était le diable, c'était mal.
Des gens comme Brel étaient sensibles et vulnérables; sur scène, ils ont osé prendre des risques.
Je ne veux pas que les choses que je fais soient faciles et prévisibles. Je veux qu'elles soient réelles.
Tu peux faire du "branchouille" ou du populaire, moi mon truc c'est de mélanger les deux.