Citations de Umberto Eco (courtes)
Laisse parler ton coeur, interroge les visages, n'écoute pas les langues...
Le prix à payer pour avoir Einstein d'un côté, c'est d'avoir un imbécile de l'autre côté !
L'important ce n'est pas tellement d'avoir des souvenirs, c'est toujours de régler ses comptes avec eux.
Je suis proustien : je trouve le sens de la vie dans les souvenirs de l'enfance !
Tous les grands écrivains sont des grands lecteurs de dictionnaires : ils nagent à travers les mots.
Le livre pourrait enseigner que se libérer de la peur du diable est sapience.
Une poule est l'artifice qu'utilise un oeuf pour produire un autre oeuf.
Je suis prisonnier du "Nom de la rose" comme Garcia Marquez l'était de "Cent Ans de solitude".
Tu n'élimines pas le rire en éliminant le livre.
Chaque écrivain raconte toujours une même obsession.
Le sommeil diurne est comme le pêché de la chair : plus on en a eu, plus on le voudrait.
Si Dieu existait, il serait une bibliothèque.
Rien ne communique plus de courage au peureux que la peur d'autrui.
Du livre découlerait la pensée que l'homme peut vouloir sur la terre l'abondance même du pays de Cocagne.
Les thèmes de la tragédie sont universels, alors que ceux de la comédie sont plus ancrés dans les cultures.
Du livre pourrait naître l'aspiration à détruire la mort à travers l'affranchissement de la peur.
Les faiblesses des méchants sont les mêmes que celles des saints.
Au moment où il rit, peu importe au vilain de mourir.