Citations de Vincent Roca (courtes)
Au football seul le ballon n'est pas payé, c'est pourtant lui qui se prend le plus de coups.
L'amour du prochain consiste à ne pas s'attacher à son conjoint actuel, mais aimer déjà le suivant !
On dit : "La critique est aisée...", parfois on aimerait pouvoir dire : "Si la critique se taisait...".
Tout ce qui a trait à la vache m'émeut.
Du tortillard au TGV, en passant par le corail et l'omnibus, les trains changent, la vache reste !
En dehors du français, il y a une seule langue nationale que la Constitution tolère : la langue de bois !
Le kiné touche le patient et l'argent du patient. Dans les deux cas, il palpe.
C'est curieux, se faire refaire les seins, ça coûte la peau des fesses.
Le problème avec la poésie : elle embellit tout !
La paix, c'est ce qui reste quand on s'est partagé le gâteau.
L'inconvénient avec le mot union, c'est que quand vous le mettez au pluriel, ça fait des unions...
Notre philosophie ? Thèse, antithèse, charentaises.
En fin de compte, la vie de père ne tient qu'à un fils !
Avant, l'argent coulait à flot, maintenant j'éponge mes dettes.
Un père biologique est-il forcément écolo ?
Je n'ai rien contre le temps, mais par moments, j'ai des envies de tuer le temps.
Un livre, c'est un peu comme un homme politique : il n'est rien sans l'électeur.
On n'achète pas Dieu, on peut seulement le louer. Par contre Dieu, lui, rachète les péchés.
Un père n'est jamais expert : quand on est père, c'est pour la vie.
Je ne sais pas pourquoi, mais un percepteur est toujours mal perçu.
Un père qui porte le manteau de son fils est-il un bon "patère" ?
Il est loin le temps où les spermatozoïdes allaient tranquillement se mettre ovaire...
Il a décroché tous les miroirs, pour ne pas trop réfléchir.
A force de lire, j'ai des livres de poche sous les yeux !
Un humoriste est rarement bien remunéré. C'est sans doute parce qu'il est impayable.
Je souhaite qu'on me délivre des livres...