Proverbes bouddhiste (courts)
La douleur est inévitable, mais la souffrance est facultative.
Quand on est son propre maître, on ne se sent pas victime de son environnement.
Vis comme si l'instant le plus important de ta vie était le moment que tu vis maintenant.
Le bonheur est né de l'altruisme, le malheur de l'égoïsme.
Tout bonheur en ce monde vient de l'ouverture aux autres ; toute souffrance vient de l'enfermement en soi-même.
La vie est comme la rosée au bout d'un brin d'herbe.
C'est réunis que les charbons brûlent ; c'est en se séparant que les charbons s'éteignent.
Deux montagnes d'or entières ne suffisent pas à combler les désirs d'une seule personne.
De la possessivité naît le manque ; du non-attachement, la satisfaction.
Seul un être épanoui peut faire du bien.
Une bonne action faite dans ce monde reçoit sa récompense dans l'autre.
La terre et le ciel sont bons ; le mal est entre le ciel et la terre.
Rien ne se produit sans cause.
Santé vaut mieux que richesse.
Pour distinguer le bien et le mal, les Parias même n'ont pas besoin de livres.
Toute victoire engendre la haine.